LA SAGA BATTAÏA

L’Histoire
BATTAÏA

E
1929

Création de l’entreprise à Montauban
par Jean-Baptiste Battaïa

E
1974

Reprise de la société par son petits fils, Jean-Baptiste Battaïa

E
1986

Arrivée du « Bilame », système innovant de coffrage béton inventé en Italie.
Cette année marque également le développement de l’activité préfabrication

E
1994

Christine Battaïa, fille de Jean-Baptiste Battaïa et arrière
petite fille du fondateur, rejoint l’entreprise familiale

E
2001

Installation d’une centrale à béton et construction d’une usine Bilame

E
2003

Christine Battaïa prend les rênes de l’entreprise

E
2015

Création d’une seconde usine
de préfabrication

E
2021

Acquisition de deux grues
géantes

L’Histoire
en détails

Battaïa, une affaire de famille.

De 1929 à nos jours (hormis un court intermède entre 1990 et 1994 durant lequel l’entreprise fut cédée à un gros opérateur avant d’être rachetée par J.-B Battaïa), l’entreprise montalbanaise a toujours été pilotée par un(e) Battaïa. Le fondateur, Jean-Baptiste Battaïa, est arrivé d’Italie en 1926 pour se poser du coté des chaumes, sur des terres où la clinique éponyme a depuis pris ses aises. L’arrière grand-père de Christine (aujourd’hui présidente de Battaïa Préfa), au départ agriculteur, pose rapidement la première pierre de son édifice entrepreneurial tourné vers le bâtiment… puis le béton. Jean-Baptiste Battaïa migrera un peu plus tard du coté de Saint-Martial, puis de l’avenue de Cos au début des années 80. Les fondations de l’entreprise promettaient déjà un bel édifice.

 

 

1974 : le successeur, également prénommé Jean-Baptiste, petit fils du fondateur, reprend l’entreprise. Il la fera changer de dimension en important d’Italie, le bilame, un process novateur de préfabrication béton. Nous sommes en 1986. Le bilame devient la spécialité de l’entreprise. « Mon père était un visionnaire » confie Christine Battaïa. Un visionnaire qui comprit avant tout le monde que ce process allait révolutionner le coffrage béton. Un coup d’avance qui permit à Battaïa l’accès à d’importants chantiers comme le métro de Toulouse.

1994 : l’héritière, Christine Battaïa, arrive à son tour. Celle qu’on appelait « petit Jeannot» quand elle était gamine, arpentant sans complexe féminin le site de l’entreprise familiale, plutôt masculin, en est aujourd’hui la présidente. « Je suis tombée dans le béton étant petite. Pendant mes vacances, je travaillais dans
l’entreprise. Ça me plaisait ». Christine avait bifurqué vers les antiquités lorsque l’entreprise échappa à la famille en 1990, 

« mais en 1994 lorsqu’il en reprit le contrôle, mon père est venu me chercher ». Christine a rangé ses statuettes et a replongé dans le béton. Sans état d’âme. Probablement était-elle faite pour ça. Celle qui fut aussi vice présidente du MTG XV à l’époque de sa splendeur, poursuit la marche en avant de Battaïa… Sur les traces des hommes qui l’ont précédée et avec la même résolution.

Ses employés et ses interlocuteurs savent parfaitement qui est le patron. Quinquagénaire et maman de trois filles, Christine Battaïa espère que l’une d’elles s’inscrira dans les pas de cette histoire familiale. Victoria, qui travaille déjà dans l’entreprise sera-telle cette héritière ? La saga Battaïa deviendrait alors autant celle des hommes que celle des femmes…

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